Dans cet article, mon but n’est pas d’écrire sur le télétravail, cela a déjà été fait à de nombreuses reprises. Mon sujet est plutôt un double constat : avec le télétravail et le présentiel, on est arrivé à un consensus plutôt bien perçu, semble-t-il, et pourtant du côté des salariés, le mal-être persiste. Comment expliquer ce décalage ?