Dans tous les domaines de vie, avoir un tant soit peu de contrôle de soi paraît indispensable.
Sur notre lieu de travail, il ne nous viendrait pas à l’idée de faire ce qui nous chante quand cela nous chante… Quand on est dans un collectif quel qu’il soit, cela nous paraît assez naturel de nous comporter de manière appropriée à la situation.
Dans cette lettre, la thématique abordée va un peu à contre-courant de cette idée reçue, car l’excès de contrôle peut avoir des effets très négatifs sur les autres mais également sur soi.
Il y a le contrôle extérieur sur ce qui nous entoure, sur les autres, et le contrôle intérieur moins visible mais pas moins opérant. Pour autant, les deux se rejoignent car ce qui se voit masque souvent ce qui est caché.
Le contrôle extérieur
C’est quand on le subit que cela nous saute aux yeux : un responsable qui est sur notre dos, qui vérifie tout ce que l’on fait en ne laissant pas passer le moindre détail peut vite rendre l’environnement de travail très pesant.
Pour autant, tout est une question de circonstance. Il y a des situations où s’assurer que les tâches sont effectuées correctement fait partie de ce que l’on attend de nous. D’ailleurs, être en contrôle, c’est être compétent et savoir que l’on a les compétences adéquates pour faire face à la situation.
Le contrôle intérieur
Il semble être un atout : dès notre plus jeune âge, on a appris qu’il est nécessaire de savoir prendre sur soi, de se contrôler, c’est même parfois indispensable pour éviter qu’une situation dégénère en conflit. En fait, avoir un minimum de contrôle de soi s’avère bien souvent nécessaire dans nos relations, qu’elles soient professionnelles ou non.
>> C’est bien dans le «trop» que les difficultés apparaissent.
Derrière ce « trop » se cache une peur
Trop de contrôle, notamment de contrôle sur soi, cache bien souvent la peur de commettre des erreurs. La personne s’imagine que pour être acceptée par les autres, elle se doit d’être parfaite. Évidemment, ce comportement est inconscient, il a été mis en place dès le plus jeune âge et est devenu un comportement automatique que la personne reproduit dès lors qu’elle se sent vulnérable.
Le contrôle exacerbé se limite rarement à ce qui est bien visible, il concerne aussi les émotions, les désirs, le corps dans sa structure plus profonde.
Dans l’article que je vous propose, je reviens sur ce contrôle, avec ce qui se voit et ce qui se voit moins et donne des pistes pour sortir du contrôle excessif.
=> Lire l'article
Si vous avez la fâcheuse tendance à vouloir tout contrôler, si les autres vous le disent et que vous le sentez peut-être vous-même, si vous ne lâchez jamais rien et que cela vous épuise parfois, cet article devrait vous parler.
>> LE COACHING POUR ACCOMPAGNER LES TRANSITIONS
Les transitions sont des périodes de questionnement naturelles liées à un changement intérieur qui interviennent à des moments clés de la vie, notamment toutes les transitions de l’âge adulte comme la quarantaine, la cinquantaine, le départ des enfants, etc.
Elles impactent tous les domaines de vie. C’est pour cela que j’invite les personnes que je sens en perte de vitesse à ne pas limiter la réflexion à la seule dimension professionnelle.
Avec le coaching, vous n’allez pas reprendre tout ce que vous savez déjà, il s’agit de changer de perspective pour vous permettre de redéfinir votre propre cap et d’identifier l’objectif qui vous permettra de vous réaliser professionnellement en adéquation avec la personne que vous êtes.
Je vous dis à très bientôt.
Elisabeth Passilly,
Coaching professionnel et formation